Le père de la chanson berbère engagée est inhumé depuis 1983 à Moissac. Une ville dans laquelle il vécut heureux plus de 25 années.
Slimane Azem chantait l’exil des immigrés d’Algérie. Des chansons qui lui valurent d’être interdit de tout retour dans son pays natal.
L’exposition s’est tenu à la bibliothèque de Moissac, l’hommage rendu à cet immense artiste fut donné au cimetière de la dérocade et au jardin municipal portant son nom.